Monday, October 04, 2004

Ca, ca m'eclate

Les marins pecheurs francais de la mediterranee sont en train de bloquer les ports de Marseille et de Sete a cause de la hausse du prix du petrole. Bon, le but c'est de bloquer les petroliers pour ainsi faire pression sur les grandes compagnies petrolieres. C'est interessant... Donc on bloque tout le traffic portuaire, pour baisser le prix du gazoil... Mmmmh... Mais en fait, dans un port, il n'y a vraiment que des petroliers qui circulent ? Et si les petroliers sont en retard, est-ce uniquement les compagnies petrolieres qui vont payer le retard ? L'armateur, par hasard, il en aura pas un peu pour sa poche ?
Finalement c'est bien ce systeme, lorsque vous avez une baisse de votre chiffre d'affaire et bien vous bloquez tout, vous faites chier le plus de gens possible comme ca, le gouvernement vous donne des subventions et hop vous etes bon jusqu'a la prochaine crise... Ah mais c'est vrai qu'en bloquant tout le monde, vous avez peut-etre mis quelques entreprises sur la paille. Mais qu'est n'en a foutre ? Hein, ils ont qu'a bloquer a leur tour et hop subventions !!! C'est ca le partage des resources !
Allez, c'est pas le tout mais il faut que j'aille bloquer le port militaire de San Diego, ils ont augmente le prix de mes pop-corns...

1 Comments:

At October 5, 2004 at 12:41 AM, Anonymous Anonymous said...

POURQUOI L'ATTENTAT DE NEW-YORK N'A PAS EU LIEU A PARIS ?

Des révélations émises par les services de renseignements français (RG) révèlent que les attentats perpétrés à New York et Washington, il y a deux ans,auraient en fait du être commis dans la capitale française.
Pour plusieurs motifs que nous détaillons ci-dessous, la tentative a échoué.
Selon nos informations, deux terroristes venus de quelque part au Moyen-Orient sont arrivés à Paris avec la ferme intention d'accomplir le "châtiment d'Allah contre tous ces infidèles français", mais n'ont pu parvenir à leur fin.

Voici le résumé et l'itinéraire de l'expédition de ces deux terroristes, une fois arrivés sur le territoire français.


Dimanche 23.30 :

Débarquement à l'aéroport de Roissy CDG, en provenance de Turquie. Ils quittent enfin l'aérogare après huit heures en attente de leurs bagages qui avaient été perdus. Ils prennent le taxi. Le chauffeur africain les observe dans le rétro, et à la vue de leur faciès de touristes, entreprend de leur faire faire le tour de la ville. Devant leur mutisme, le compteur affichant déjà 150 euros, il décide de les achever en prenant le boulevard périphérique et se colle dans les embouteillages.

A la faveur d'une pause-pipi en gare du Nord, un complice du chauffeur monte, leur soustrait les bagages, leur distribue quelques baffes et les deux terroristes sont abandonnés sur le carreau.


Lundi 12.00 :

Ayant retrouvé leurs esprits après le pugilat, les deux terroristes louent une chambre dans un hôtel près de la gare du Nord où ils se remettent de leurs émotions. Ils téléphonent à un complice arrivé avant eux et en place depuis longtemps afin de prendre rendez-vous pour se faire remettre les billets d'avion correspondant au vol qui doit être détourné.


Lundi 16.00 :

Les terroristes sortent de l'hôtel pour louer une voiture afin de se rendre aux Champs-Elysées où le rendez-vous a été pris. En se dirigeant vers la Concorde, ils se retrouvent immobilisés à hauteur des Grands Boulevards par une manifestation des anti-mondialistes d'ATTAC. Ils décident de faire demi-tour afin de gagner les voies sur berges mais se retrouvent bloqués à hauteur de la place de la République par une autre manifestation rassemblant des personnels de l'Education National.

Le métro et les autobus étant paralysés à cause d'une grève consécutive à des agressions commises à l'encontre des agents, les terroristes décident d'abandonner leur véhicule là et de continuer à pied.


Lundi 22.00 :

Ils arrivent enfin sur les Champs mais leur contact ne les a pas attendus. Ils retournent donc à leur hôtel.


Mardi 00.00

De retour à leur hôtel, les deux terroristes fourbus téléphonent à leur complice pour lui rendre compte de la situation. Ils tombent sur un répondeur car le complice a, de son côté, été retardé par une manifestation d'agriculteurs en colère. Ils décident de se reposer en attendant.


Mardi 08.00

Les terroristes sont réveillés par un coup de téléphone de leur contact qui a décidé de leur apporter directement les billets ainsi que de l'argent.


Mardi 13.00

Après un frugal repas, les deux terroristes se dirigent en voiture vers Orly afin d'embarquer et de détourner un avion d'Air France et le crasher sur la Tour Eiffel. Malheureusement les contrôleurs aériens sont en grève pour protester contre un projet de directive de Bruxelles libéralisant le contrôle aérien.
Au comptoir d'Air France, une employée très courtoise leur propose un échange de billets pour le lendemain puisque aucun avion ne peut décoller ou atterrir ce jour.

De retour au parking, ils constatent qu'on leur a volé leur voiture. Ils rentrent donc à l'hôtel par le bus et le métro car leur mésaventure avec le taxi les a rendus méfiants.


Mardi 20.00

Affamés et fourbus, les terroristes sont de nouveau à l'hôtel près de la gare du Nord où ils se restaurent et passent la nuit.


Mercredi 13.00

Les terroristes repartent vers Orly par les transports en commun. Ils y arrivent à 14.30 pour constater que leur vol a été annulé suite à une grève des pilotes d'Air France qui revendiquent une augmentation de salaire et une diminution de la durée de leur service. Les terroristes envisagent un moment l'éventualité du détournement d'un autre appareil mais le seul avion sur la piste est un vol d'Air Liberté qui a 18 heures de retard...
Les employés et les passagers campent dans l'aérogare, chantant des chansons populaires, criant des slogans assassins contre Swissair et le gouvernement.
Les CRS se lancent à l'assaut de la foule, tout le monde prend des coups.


Mercredi 19.45

Devant un tel contexte instable, les deux terroristes songent à changer leur plans et décident d'aller faire sauter Monaco. Ils se dirigent vers le comptoir d'Air Littoral et l'employé, un certain Jacques Cambraleoni, leur vend des billets pour un vol qui n'existe déjà plus.


Mercredi 21.00

Les terroristes commencent à se demander si faire sauter Paris ne serait pas considéré comme un acte de charité. Morts de faim, ils décident alors d'aller manger quelque chose au Hilton Orly. Ils prennent des asperges, une omelette et du jus d'orange.


Jeudi 00.35

Ils sont transportés en urgence à l'Hôpital Pompidou, en raison d'une salmonellose provoquée par l'omelette. Ils attendent des heures aux urgences, se chiant littéralement dessus. Ils seront hospitalisés pendant deux semaines suite à une légionellose attrapée à l'hôpital à cause de l'air conditionné.


Mercredi (deux semaines plus tard) 12.00

Ils sortent enfin de l'hôpital, et décident de rentrer dans leur pays après avoir récupéré leurs affaires à l'hôtel. Ils décident de faire quelques pas dehors pour se détendre et se retrouvent tout près du Parc des Princes ou se joue un match PSG/OM.

Des skins racistes, supporters du PSG, leur tombent dessus et les prenant pour des bronzés marseillais les tabassent. Des passants compatissants les ramassent et pour les réconforter les conduisent au café le plus proche où, ignorant leur confession, on leur sert un pichet de "Villageoise" ce qui leur provoque instantanément une infection urinaire aiguë qui les ramène à l'hôpital.


Samedi 12.00

Les terroristes, sitôt sortis de l'hôpital, louent une voiture et, sans retourner à leur hôtel, prennent la route en direction de l'Espagne, probablement pour gagner le Maroc. Ils se jurent, "parole de Ben Laden", de ne jamais remettre les pieds dans notre foutu pays et estiment qu'il est moins risqué d'aller foutre la merde aux USA.



Voilà c'est cela notre défense passive! C'est très efficace et absolument percutant !

 

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